
Le cancer du poumon est le cancer le plus fréquent chez l’homme et le deuxième chez la femme, précédé du cancer du sein. Les cancers primitifs sont ceux se manifestant en premier lieu dans les poumons. Les cancers secondaires sont ceux ayant progressé depuis un autre endroit jusqu’aux poumons.
Les types de cancer du poumon
Les cancers dits primitifs sont de quatre types : les cancers épidermoïdes, les cancers carcinomes à grandes cellules, les cancers adénocarcinomes et les cancers carcinomes à petites cellules. Les traitements de ces cancers sont les mêmes, sauf pour le cancer carcinome à petites cellules où le risque est plus important. Pour ce cancer, le traitement est plus radical, avec possibilité de chimiothérapie associée à de la radiothérapie. Les autres cancers du poumon sont traités avec pour option première, celle de la chirurgie.
Lorsque le cancer du poumon (tous types compris) s’étend, il touche principalement deux localisations : d’une part les glandes lymphatiques, d’autre part les autres organes, et plus spécialement les os, le cerveau, les glandes surrénales et le foie. Pour déterminer le meilleur traitement, il faut donc connaître avec la plus grande exactitude possible les zones touchées par le cancer.
La cigarette et le cancer du poumon
Quand nous constatons les dégâts provoqués par le cancer du poumon, il vaut mieux mettre toutes les chances de son côté et éviter tout ce qui pourrait augmenter le risque d‘être touché par cette terrible maladie. En premier lieu la cigarette, même si elle n’est pas seule responsable du mal. L’exposition à certains produits chimiques, à certains gaz ou à l’amiante peut être elle aussi responsable de l’origine d’un cancer du poumon. La connaissance des dangers liés à la cigarette est fort répandue, mais sa consommation ne faiblit pas pour autant. Il serait temps de prendre conscience des risques que cela peut faire encourir. Pour le fumeur ainsi que ceux qui sont en sa compagnie. En limitant la consommation de cigarettes, voire même en arrêtant de fumer pour les plus motivés et plus décidés, vous diminuerez ainsi les risques d’être touché par un cancer des poumons.